Antonin Dvorak, ô toi grande carcasse, si jamais dans ta boite six pieds sous terre tu entends une effluve de notes ressemblant vaguement à ta symphonie n°9, promets moi de garder ton calme, de ne pas te retourner, inutile de griffer le couvercle de ta dernière demeure et de me maudire à tout jamais.

Mes acolytes musiciens et moi même allons tout à l’heure tenter de faire bonne figure en ne massacrant pas trop ta putain de symphonie "du nouveau monde" qui déchire grave sa race.

L’exercice s’avère périlleux mais à cœur vaillant rien d’impossible. Et puis à vaincre sans péril on triomphe sans gloire. Dont acte